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Jardin Hope for Wildlife

Un véritable trésor en Nouvelle-Écosse

Hope for Wildlife est situé à Seaforth, en Nouvelle-Écosse, juste à côté de Halifax. Il s’agit d’un hôpital et d’un centre de réhabilitation pour la faune, doublé d’un centre d’éducation et d’accueil des visiteurs. Ce qui a commencé par le désir de Hope Swinimer d’aider un merle d’Amérique blessé est devenu un voyage continu d’apprentissage et d’aide aux animaux sauvages de Nouvelle-Écosse. Hope for Wildlife fonctionne maintenant depuis plus de 15 ans, réhabilite plus de 1500 animaux par an, est un contributeur important à la conservation de la faune canadienne et à l’éducation.

Dans ses efforts pour sensibiliser les gens à l’importance de la faune et pour leur enseigner comment vivre en harmonie avec leurs voisins sauvages, Hope for Wildlife est devenue une émission à forte audience, apparaissant sur de nombreuses chaînes de télévision telles que Discovery Channel, National Geographic, Bravo et Oasis HD, et a été diffusée dans plus de 140 pays! Les épisodes montrent Hope Swinimer et ses bénévoles « sauvant, réhabilitant et relâchant des milliers d’animaux depuis son domicile en Nouvelle-Écosse, ainsi qu’apprenant de nouvelles techniques et communiquant avec des experts », tout en aidant des animaux de toutes formes et tailles, depuis des ours et des phoques jusqu’à des hiboux et des ratons laveurs!

Une autre initiative de cette organisation est le Wildlife Garden (jardin faunique). Il « présente les habitats naturels, les plantes indigènes, l’interaction entre la faune et son habitat, et encourage les visiteurs à créer chez eux des jardins respectueux de la faune. Les jardins comprennent un jardin destiné aux pollinisateurs, un jardin roue médicinale, un jardin potager sur le toit, un jardin de rocaille, un étang et un mât de la paix. Le jardin faunique accueille également des ambassadeurs animaux indigènes en été, comme la Chouette rayée à une aile, Oliver Twist. »

Une des bénévoles du centre, Allison Dubé, ajoute qu’un apiculteur place une des ses ruches dans le jardin chaque année et rapporte que « c’est une de ses ruches les plus productives. Il pense que c’est la variété d’espèces indigènes qui fleurissent tout au long de l’été qui permet à la ruche de s’en sortir si bien (par opposition à une monoculture qui fleurit en même temps et ne fournit de la nourriture que pendant une courte période). Les visiteurs du jardin peuvent repartir avec leur propre pot de miel de notre boutique de cadeaux. »

Si vous vivez en Nouvelle-Écosse ou si vous vous y rendez cet automne, venez y faire un tour et en apprendre davantage sur nos voisins sauvages et ce que vous pouvez faire pour les aider. Notez que le jardin est ouvert sur rendez-vous après le 31 août. Consultez le site www.hopeforwildlife.net/visit.html pour plus de renseignements sur les réservations durant l’intersaison.

(Photo : Krista Oswald)