| Photo: Tobi Ann Baumgartner |
Je m’adapte bien aux changements, j’ai toujours eu cette capacité. Cependant, je sais que ce n’est pas le cas pour tout le monde. Dans la nature, un certain nombre de changements sont inévitables; les espèces sauvages s’adaptent constamment. Aujourd’hui, en raison surtout du réchauffement de la planète, les changements se précipitent. Les espèces sauvages et leurs habitats ne peuvent pas suivre le rythme, et c’est pourquoi nous devons intervenir en leur faveur. Toutefois, même si nous cessions toutes les émissions de gaz à effet de serre dès aujourd’hui, les espèces sauvages et leurs habitats feraient toujours face aux effets du changement climatique au cours de plusieurs décennies à venir. Ils ne peuvent pas attendre que les émissions soient réduites considérablement, ils ont besoin de notre aide dès maintenant.
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Plafonnement et échange 101 Le moins qu’on puisse dire du marché du carbone, c’est qu’il est un peu compliqué. Un système de plafonnement et d’échange de droits d’émission, c’est, en résumé, un système dans lequel le gouvernement établit une limite — un plafond — pour l’ensemble des émissions industrielles de gaz à effet de serre, habituellement mesurées sous l’angle du dioxyde de carbone. Les émissions admissibles sont ensuite partagées, et les droits correspondants sont attribués (par adjudication ou vente, et c’est là la source des recettes) aux émetteurs industriels. Les quantités (en tonnes de carbone) que ces derniers ont alors le droit d’émettre forment des « crédits ». If a company goes over their limit, they must purchase credits elsewhere or invest the monetary equivalent in technologies or other activities that will reduce their emissions. If a company significantly reduces their emissions, they’ll have unused credits which they can sell on the market. Each year, the government would set a lower cap, thereby lowering emissions over time. |
Étant donné que les groupes ne peuvent pas travailler efficacement de manière isolée et que la faune dépasse toutes frontières, nous sommes optimistes quant à ce que nous pouvons réaliser ensemble. Nous avons l’occasion de faire des plans en vue du changement climatique, lequel changera à jamais le visage du financement de la conservation. Nos espaces naturels et nos espèces sauvages le méritent bien.
Le vice-président administratif de la FCF,
Wade Luzny